A shill is person who is paid to help another person or organization to sell goods or services. The shill pretends to have no association with the seller/group and gives onlookers the impression that he or she is an enthusiastic customer. The person or group that hires the shill is using crowd psychology, to encourage other onlookers or audience members (who are unaware of the set-up) to purchase said goods or services.
Shills are often employed by confidence artists. The term plant is also used. The term is also used to describe a person who is paid to help a political party or other advocacy organization to gain adherents; as with the situation of selling goods or services, the shill gives the impression of being unrelated to the group in question, and gives the impression that he or she finds merit in the ideological claims of the political party.
Shilling is illegal in many circumstances and in many jurisdictions[1] because of the frequently fraudulent and damaging character of their actions. However, if a shill does not place uninformed parties at a risk of loss, but merely generates "buzz", the shill's actions may be legal. For example, a person planted in an audience to laugh and applaud when desired (see claque), or to participate in on-stage activities as a "random member of the audience", is a type of legal shill.
"Shill" can also be used pejoratively to describe a critic who appears either all-too-eager to heap glowing praise upon mediocre offerings, or who acts as an apologist for glaring flaws. In this sense, they would be an implicit "shill" for the industry at large, possibly because their income is tied to its prosperity. The origin of the term shill is uncertain; it may be an abbreviation of the Yiddish shillaber. The word originally denoted a carnival worker who pretended to be a member of the audience in an attempt to elicit interest in an attraction. Some sources trace the usage only back to 1914.
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Un shill est une personne qui est payée pour aider une autre personne ou organisation à vendre des biens ou des services. Le compère prétend n'avoir aucun lien avec le vendeur/groupe et donne aux spectateurs l'impression qu'il est un client enthousiaste. La personne ou le groupe qui embauche le shill utilise la psychologie des foules pour encourager d’autres spectateurs ou membres du public (qui ne connaissent pas la configuration) à acheter lesdits biens ou services.
Les comparses sont souvent employés par des artistes de confiance. Le terme plante est également utilisé. Le terme est également utilisé pour décrire une personne qui est payée pour aider un parti politique ou une autre organisation de défense à gagner des adhérents ; comme dans le cas de la vente de biens ou de services, le shill donne l’impression de n’avoir aucun lien avec le groupe en question et donne l’impression qu’il trouve du mérite dans les affirmations idéologiques du parti politique.
Le shilling est illégal dans de nombreuses circonstances et dans de nombreuses juridictions[1] en raison du caractère souvent frauduleux et préjudiciable de ses actions. Cependant, si un shilling n'expose pas des parties non informées à un risque de perte, mais génère simplement du « buzz », les actions du shilling peuvent être légales. Par exemple, une personne implantée dans un public pour rire et applaudir quand on le souhaite (voir claque), ou pour participer à des activités sur scène en tant que « membre aléatoire du public », est un type de complicité juridique.
« Shill » peut également être utilisé de manière péjorative pour décrire un critique qui semble soit trop désireux de faire l'éloge d'offres médiocres, soit qui agit comme un apologiste de défauts flagrants. En ce sens, ils constitueraient un « compagne » implicite pour l’industrie dans son ensemble, peut-être parce que leurs revenus sont liés à sa prospérité. L'origine du terme shill est incertaine ; c'est peut-être une abréviation du yiddish shillaber. Le mot désignait à l'origine un ouvrier du carnaval qui prétendait être un membre du public dans le but de susciter l'intérêt pour une attraction. Certaines sources font remonter son utilisation à 1914 seulement.
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